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Avec PowerPoint 2019, il est très simple d’insérer des équations dans une feuille de calcul :

  1. Sélectionnez l’onglet Insertion dans le ruban.
  2. Cliquez sur la flèche sous l’icône Equation dans le groupe Symboles.
  3. Choisissez l’une des équations proposées.

Si l’équation recherchée n’est pas disponible dans la galerie, vous allez devoir la saisir manuellement. Cliquez sur l’icône Equation et utilisez l’onglet Outils d’équation/Conception pour définir votre équation.

Une dernière possibilité : vous pouvez écrire l’équation à la main, comme vous le feriez sur une feuille de papier. Cliquez sur la flèche sous l’icône Equation dans le groupe Symboles, puis cliquez sur Equation manuscrite. Il ne vous reste plus qu’à dessiner l’équation dans la zone dédiée. Cette technique est bien plus efficace si vous utilisez un stylet qu’une souris.

Voici la formule insérée dans la diapositive :


Outlook supporte désormais les mentions. Tout comme sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter ou Instagram par exemple), vous pouvez attirer l’attention d’une ou de plusieurs personnes dans un message e-mail en les mentionnant avec le préfixe @nomdelapersonne.

Dès que vous tapez le signe arobas, une liste contenant 30 contacts s’affiche. Cette liste est mise à jour au fur et à mesure que vous saisissez l’adresse de la personne. Cliquez sur une des entrées de la liste pour la mentionner dans le message. Outlook ajoute automatiquement cette personne dans les destinataires du message :

Il est possible de filtrer les messages de la boîte de réception pour n’afficher que ceux qui comportent des mentions.

Sélectionnez l’onglet Prioritaire sur une messagerie Office 365, Microsoft Exchange ou Outlook. Sélectionnez l’onglet Tous sur un autre type de messagerie. Déroulez la liste Par date et sélectionnez Messages avec mentions pour n’afficher que les messages qui comportent des mentions.


Pour interagir avec un classeur Excel, vous allez passer par le modèle objet Excel, via la fonction asynchrone Excel.run(). Vous utiliserez ce « squelette standard » :

$('#run').click(() => tryCatch(run));

async function run() {

  await Excel.run(async (context) => {

    // Entrez votre code ici

    console.log("La fonction run() s'est exécutée");

    await context.sync();

  });

}

async function tryCatch(callback) {

  try {

    await callback();

  } catch (error) {

    console.error(error);

  }

}

Ce code est disponible en cliquant ici

La plupart de ces instructions devraient vous être familières.

Quelques nouveautés cependant.

La fonction Excel.run() exécute des instructions JavaScript / TypeScript qui interagissent de façon asynchrone sur le modèle objet Excel via l’objet context. Cet objet représente l’environnement runtime d’Excel. C’est à travers lui que vous pourrez interagir en lecture et en écriture sur vos classeurs.

Les objets JavaScript définis dans un complément Excel sont des proxy. Lorsque vous utilisez des propriétés (en lecture ou en écriture) de ces objets, ou lorsque vous leur appliquez des méthodes, les instructions correspondantes sont placées dans une file d’attente.

L’instruction await context.sync() exécute les commandes qui sont dans la file d’attente. En d’autres termes, elle synchronise l’état entre les objets proxy de JavaScript et les objets réels dans Excel. Elle doit être systématiquement utilisée dans la fonction Excel.run().

Pour créer ce squelette standard, cliquez sur l’icône de menu dans le volet Code (1), puis cliquez sur New Snippet (2) :

Comme vous pouvez le voir, le code généré est légèrement différent du squelette standard. Il contient en particulier une autre instruction :

Cette instruction récupère le classeur actif et le place dans la constante sheet.

En agissant sur cette constante via des propriétés et des méthodes, vous allez pouvoir lire et modifier le contenu de la feuille courante et, si nécessaire, modifier son apparence.


Pour mettre en évidence les différents éléments d’une énumération, rien de tel qu’une liste à puces ou qu’une liste numérotée. Avant toute chose, sélectionnez les paragraphes concernés.

Dans un deuxième temps, cliquez sur la flèche à droite de l’icône Puces dans la barre d’outils Formatage et faites votre choix dans les différents types de puces proposés. Lorsque vous cliquez sur un type de puces, il est appliqué à chacun des paragraphes sélectionnés :

Vous trouvez que les types de puces proposés ne sont pas suffisants ?

Cliquez sur la flèche à droite de l’icône Puces dans la barre d’outils Formatage et cliquez sur Plus de puces. La boîte de dialogue Puces et numérotation s’affiche. Basculez sur l’onglet Image et faites votre choix parmi les nombreuses puces images proposées :

Cliquez sur OK pour utiliser l’image choisie en tant que puce dans les paragraphes sélectionnés :

Si les puces images proposées dans Writer ne vous conviennent pas, vous pouvez utiliser vos propres images. Cliquez sur la flèche à droite de l’icône Puces dans la barre d’outils Formatage et cliquez sur Plus de puces. La boîte de dialogue Puces et numérotation s’affiche. Basculez sur l’onglet Personnaliser, puis sélectionnez Images dans la liste déroulante Nombre. En face du label Images, cliquez sur Sélectionner puis sur A partir d’un fichier et désignez le fichier à utiliser :

Cliquez sur OK pour utiliser l’image choisie en tant que puce dans les paragraphes sélectionnés :

Dans le même ordre d’idées, pour utiliser d’autres styles de numérotations, cliquez sur la flèche à droite de l’icône Numérotation et sélectionnez une des numérotations proposées :

Si les numérotations disponibles ne vous suffisent pas, cliquez sur Plus de numérotation. La boîte de dialogue Puces et numérotation s’affiche. Basculez sur l’onglet Personnaliser et paramétrez cette boîte de dialogue comme vous l’entendez pour obtenir l’effet désiré. Ici par exemple, les numéros sont des lettres minuscules grecques (1), suivies d’un point décimal (2) :


Il est parfois nécessaire d’insérer du texte dans une forme. Pour ce faire, cliquez sur la forme et saisissez le texte à insérer au clavier. Bien entendu, vous pouvez mettre en forme le texte en utilisant l’onglet Propriétés de la barre latérale. Ici par exemple, on a changé la couleur et la graisse du texte à l’aide des icônes Couleur de police et Gras de la barre latérale :


Cet article va vous montrer comment renseigner une cellule lorsqu’une condition est vérifiée. Nous allons partir de cette feuille de calcul :

Le but est de recopier dans la colonne C les valeurs de la colonne B lorsqu’elles sont positives, et dans la colonne D les valeurs opposées de la colonne B lorsqu’elles sont négatives. Voici le résultat désiré :

Pour arriver à ce résultat, nous allons utiliser la fonction SI().

Cliquez dans la cellule C2, puis sur l’icône de l’assistant fonction. La boîte de dialogue Assistant fonction s’affiche. Double-cliquez sur l’entrée SI dans la zone de liste et complétez les zones de texte Test, Puis la valeur et Autre valeur comme ceci :

Si la cellule B2 contient une valeur positive, elle sera recopiée dans la cellule C2. Dans le cas contraire, la chaîne vide sera copiée dans la cellule C2.

Validez en cliquant sur OK.

Cliquez dans la cellule D2, puis sur l’icône de l’assistant fonction. La boîte de dialogue Assistant fonction s’affiche. Double-cliquez sur l’entrée SI dans la zone de liste et complétez les zones de texte Test, Puis la valeur et Autre valeur comme ceci :

Si le contenu de la cellule B2 est négatif, l’opposé de la cellule B2 est copié dans la cellule D2. Dans le cas contraire, c’est la chaîne vide qui est copiée dans la cellule D2. Validez en cliquant sur OK.

Il ne vous reste plus qu’à étirer la cellule C2 jusqu’à la cellule C10 pour recopier la formule dans les cellules C3 à C10. De la même manière, étirez la cellule D2 jusqu’à la cellule D10 pour recopier la formule dans les cellules D3 à D10.

Enfin, calculez la somme des cellules C2 à C10 dans la cellule C12, et la somme des cellules D2 à D10 dans la cellule D12.


Avec la fonctionnalité WSL (Windows Subsystem for Linux), vous pouvez installer et exécuter plusieurs distributions Linux de façon native dans Windows 10 : Ubuntu, openSUSE, SUSE, Laki, Debian, Fedora, Pengwin, Alpine WSL.

Mais avant d’installer l’une d’entre elles, vous devez installer WSL. Cliquez du bouton droit sur Démarrer et cliquez sur Windows PowerShell (admin) dans le menu contextuel. Tapez cette commande et appuyez sur la touche Entrée du clavier :

dism.exe /online /enable-feature /featurename:Microsoft-Windows-Subsystem-Linux /all /norestart

Redémarrez l’ordinateur.

Nous allons par exemple installer la dernière version LTS de Ubuntu. Ouvrez le Microsoft Store. Faites une recherche sur le mot Ubuntu et sélectionnez la dernière version LTS (Long Term Support) :

Cliquez sur Télécharger, sur Installer, puis sur Lancer. Une fenêtre Invite de commandes s’ouvre. Au bout de quelques minutes, on vous informe que l’installation a abouti et que vous devez créer un nom d’utilisateur UNIX. Choisissez un nom d’utilisateur et définissez le mot de passe associé :

Ça y est, vous avez maintenant accès à l’ensemble des outils de Linux : ssh, apache, mysql, python, perl, ruby, tar, sort, grep, etc. etc..

Le système de fichiers de Windows est directement accessible en bash. Par exemple, pour accéder au dossier data/mediaforma/Windows10 du disque c :, tapez la commande suivante :

ll /mnt/c/data/mediaforma/Windows10

Voici le résultat :