Médiaforma

posts

La mise à jour gratuite vers Windows 10 concerne tous les ordinateurs et tablettes éligibles qui fonctionnent Windows 7 SP1 et Windows 8.1 Update. Elle s’applique du 29 Juillet 2015 au 28 Juillet 2016 à minuit.

Avant de pouvoir passer à Windows 10, un matériel fonctionnant sous Windows 8 ou Windows 7 doit d’abord faire une mise à jour vers respectivement Windows 8.1 Update et Windows 7 SP1. Notez que certaines éditions sont exclues de cette offre : Windows 7 Entreprise, Windows 8/8.1 Entreprise et Windows RT/RT 8.1.

La mise à niveau gratuite vers Windows 10 peut se faire :

  • Sur un appareil que vous venez d’acheter à condition qu’il fonctionne sous Windows 8.1 Update
  • Sur votre ordinateur actuel, à condition qu’il fonctionne sous Windows 7 SP1 ou Windows 8.1 Update.

Après la mise à jour :

  • Windows 7 Édition Starter, Windows 7 Édition Familiale Basique et Windows 7 Édition Familiale Premium devient Windows 10 Famille
  • Windows 7 Professionnel ou Windows 7 Édition Intégrale devient Windows 10 Professionnel
  • Windows 8.1 devient Windows 10 Famille
  • Windows 8.1 Professionnel ou Professionnel étudiant devient Windows 10 Professionnel

Les éditions N et KN de Windows 7 SP1 et 8.1 Update suivent le processus de mise à jour de l’édition parente. A titre d’exemple, Windows 7 Professionnel N deviendra Windows 10 Professionnel N. Ainsi de suite.

Une fois la mise à niveau effectuée avant le 28 Juillet 2016, Windows 10 vous appartiendra. Vous n’aurez rien à payer passé le 28 Juillet 2016. Par contre, si vous décidez de faire une mise à niveau vers Windows 10 après cette date, elle sera payante.

Trois ans après la sortie de Windows 8, Microsoft propose une évolution majeure et entièrement gratuite de son système d’exploitation. Développé sous le nom de code Threshold, le nouveau Windows s’appellera finalement … Windows 10 !

Lors de la présentation officielle de Windows 10, Terry Myerson (le vice-président exécutif en charge des systèmes d’exploitation chez Microsoft) n’a pas donné une explication claire concernant le passage de Windows 8 à Windows 10. Il a cependant précisé que le nouveau système était très différent de ses prédécesseurs, et que le nom « Windows 9 » n’était pas approprié pour matérialiser cette différence. Cette nouvelle mouture du système est une réponse aux remarques qui avaient été faites sur Windows 8 et 8.1, mais elle apporte également son lot de nouveautés et d’innovations.

Windows 10 est la première version de Windows faite pour s’exécuter sur une très grande variété d’appareils. Des PC de bureau et des portables bien sûr, mais également des tablettes, des téléphones, des ordinateurs miniatures Raspberry Pi 2, des consoles de jeu, des lunettes de réalité virtuelle (HoloLens), des bracelets (la future version de Microsoft Band) et toutes sortes d’autres appareils qui sont en cours d’élaboration dans les esprits des créateurs du monde entier.

Tous ces appareils peuvent exécuter le même code. Mais attention, cela ne veut pas dire que le rendu sera le même sur chacun d’entre eux. Un téléphone par exemple n’a pas autant d’espace d’affichage qu’un écran de bureau de 26 pouces. Ou encore, un Raspberry Pi n’est pas forcément connecté à un écran !

Les applications disponibles pour tous ces appareils sont diffusées à travers un seul et unique store, dit « unifié ». Les applications sont quant à elles dites « universelles » : un seul code pour tous les appareils.

Quelque chose est fondamentalement nouveau dans Windows 10 par rapport aux versions précédentes : la mise à jour permanente via Windows Update. Dans les versions précédentes de Windows, les mises à jour mineures se faisaient via Windows Update et, de temps à autre, une nouvelle version majeure était disponible sous la forme d’un « service pack ». Sous Windows 10, le système se met à jour en permanence via Windows Update. Notez cependant que deux fréquences de mises à jour seront proposées :

  • Une continue pour les utilisateurs individuels ;
  • Une plus lente pour les entreprises qui préfèrent se baser sur un environnement plus stable.

Ce dossier va vous montrer comment utiliser l’API JavaScript IndexedDB pour stocker des données dans une base de données locale propre au navigateur Web utilisé. IndexedDB est un système de gestion de bases de données transactionnel. Vous serez peut-être dérouté si vous avez l’habitude de travailler avec des bases de données relationnelles. En effet, IndexedDB est une base orientée objet, ce qui diffère sensiblement des tables constituées de lignes et colonnes des bases de données relationnelles…

En quelques puces, les avantages d’IndexedDB :

  • Possibilité de gérer un grand nombre de données structurées côté client, online ou offline. Recherches performantes basées sur un ou plusieurs index.
  • Fonctionnement asynchrone.

Quelques indices pour mieux cerner IndexedDB

  • Tout comme dans le Local Storage, IndexedDB mémorise des éléments sous la forme de paires clé/valeur. Par contre, les valeurs peuvent être des objets structurés (c’est-à-dire posséder une ou plusieurs propriétés) et les clés peuvent être générées automatiquement ou issues d’un key path qui définit le champ utilisé pour la clé.
  • A l’heure où j’écris ces lignes, l’API IndexedDB est essentiellement asynchrone : les données ne sont pas retournées par l’API mais par une fonction de rappel (callback). De même, on ne stocke pas et on ne lit pas des données dans la base de données. On demande de les stocker ou de les lire. Une fonction du DOM est exécutée lorsque la demande a été exécutée. Vous pouvez alors savoir si elle a abouti ou si elle a échoué.
  • IndexedDB est orienté objet : ce n’est pas une base de données relationnelle avec des tables, des colonnes et des lignes. Avec IndexedDB, on dispose d’un espace de stockage d’objets pour un type de données particulier et on manipule des objets JavaScript dans cet espace.
  • Il n’y a pas de langage SQL dans IndexedDB. Pour accéder à une donnée ou un ensemble de données, on lance une recherche sur un index. On obtient alors un curseur que l’on utilise pour parcourir l’ensemble des résultats.
  • Les requêtes sont des objets qui reçoivent les événements DOM de succès ou d’échec (propriétés onsuccess et onerror). On peut appeler addEventListener() et removeEventListener() sur ces objets. Elles ont aussi les propriétés readyState, result et errorCode qui donnent l’état d’une requête.
  • Tout ce que vous faites avec IndexedDB se fait dans le cadre de transactions, qui ont une durée de vie définie.
  • Attention : Pour des raisons de sécurité, l’accès aux données IndexedDB n’est possible qu’à partir du même domaine ou du même port que là où elles sont stockées. Si vous essayez d’y accéder depuis un autre domaine, votre demande sera refusée.

Dans la suite de la formation, vous allez apprendre à ouvrir une base de données IndexedDB, à créer un store, à écrire, lire et supprimer des données dans le store, et à afficher les résultats retournés par vos requêtes.

Attention

Alors que j’écris ces lignes, l’API IndexedDB n’est entièrement compatible qu’avec les dernières versions de Google Chrome. Les tests ont été effectués sur la version 41 de Google Chrome.

Test de compatibilité

Si Google chrome n’est pas installé sur votre ordinateur, téléchargez la dernière version de ce navigateur en vous rendant sur https://www.google.fr/chrome/browser/desktop/ :

L’API IndexedDB n’est pas finalisée. Si vous voulez la tester sur plusieurs navigateurs, vous devrez vous adresser aux différents navigateurs qui l’implémentent en utilisant des préfixes :

var window.indexedDB = window.indexedDB || window.webkitIndexedDB || window.mozIndexedDB || window.msIndexedDB;
window.IDBTransaction = window.IDBTransaction || window.webkitIDBTransaction || window.msIDBTransaction;
window.IDBKeyRange = window.IDBKeyRange || window.webkitIDBKeyRange || window.msIDBKeyRange;

Si la valeur stockée dans la variable window.indexedDB est false, le navigateur ne supporte pas (du tout ou entièrement) l’API IndexedDB :

if (!window.indexedDB) {
    window.alert("Votre navigateur n'est pas compatible avec l'API IndexedDB.")
}
else {
    window.alert("Votre navigateur est compatible avec l'API IndexedDB.")
}

Pour éviter l’affichage d’un trop grand nombre de boîtes de dialogue, nous allons insérer une balise <div> dans le code et y accéder en JavaScript pour afficher les messages. Voici le code complet :

<!DOCTYPE html>
<html>
  <head>
    <title>IndexedDB</title>
  </head>
  <body>
    <div id="note"></div>
    <script>
      var note = document.getElementById("note");

      window.indexedDB = window.indexedDB || window.mozIndexedDB || window.webkitIndexedDB || window.msIndexedDB;
      window.IDBTransaction = window.IDBTransaction || window.webkitIDBTransaction || window.msIDBTransaction;
      window.IDBKeyRange = window.IDBKeyRange || window.webkitIDBKeyRange || window.msIDBKeyRange;

      if (!window.indexedDB) {
        note.innerHTML += 'Votre navigateur n\'est pas compatible avec l\'API IndexedDB.';
      }
      else {
        note.innerHTML += 'Votre navigateur est compatible avec l\'API IndexedDB.';
      }
    </script>
  </body>
</html>

Préparation des données à stocker dans la base de données

Avant d’ouvrir la base de données, nous allons définir quelques données. A titre d’exemple, ces données vont concerner les personnes inscrites à une newsletter :

const inscrits = [
{ id: "01", prenom: "Pierre", nom: "Perrac", age: 28, mail: "pierre.perrac@gmail.com" },
{ id: "02", prenom: "Marie", nom: "Courteau", age: 19, mail: "marie.courteau@free.fr" }
];
note.innerHTML += 'Données préparées pour stockage dans la base de données.<br>';

Ouverture de la base de données

Pour ouvrir une base de données IndexedDB, vous utiliserez la fonction open() de l’objet window.indexedDB :

var db;
var request = window.indexedDB.open('test', 1);
request.onerror = function(evt) {
  note.innerHTML += 'Erreur : ' + evt.target.errorCode;
};
request.onsuccess = function(evt) {
  db = request.result;
  note.innerHTML += 'Base de données ouverte avec succès.<br>';
};
request.onupgradeneeded = function(event) {
}

Remarque

Si ce même code est stocké sur deux sites différents, deux bases de données portant le nom test, mais totalement différentes, seront créées dans le navigateur.

Dans cet exemple de code, la base de données à ouvrir porte le nom test. La fonction open() admet deux paramètres :

  • Le nom de la base de données. Si cette base existe, elle est ouverte. Sinon, elle est créée.
  • La version de la base de données. Ce paramètre est utilisé si la structure de la base de données change (ajout ou suppression de propriétés).

La fonction open() retourne un objet IDBRequest sur lequel on définit plusieurs fonctions événementielle :

  • onerror est lévé si l’ouverture de la base de données est impossible ;
  • onsuccess est levé si la base de données a pu s’ouvrir. Dans ce cas, l’objet lié à l’ouverture de la base de données est stocké dans la variable db.
  • onupgradeneeded est levé si vous voulez mettre à jour la base de données. Par exemple pour ajouter, supprimer ou modifier des propriétés.

Exécutez ce code dans Google Chrome. Voici ce que vous devriez obtenir :

Création d’un ObjectStore pour préparer la sauvegarde de données dans la base

Les ObjectStore sont l’équivalent des tables dans les bases de données relationnelles. Ils permettent de stocker des données (et non des tables) dans la base de données. Lorsqu’une données est stockée dans la base, elle est associée à une clé.

IndexedDB permet de créer des index sur tous les objets du store. Par leur intermédiaire, il est possible d’accéder aux valeurs stockées dans le store en utilisant la valeur d’une propriété des objets stockés.

request.onupgradeneeded = function(event) {
  var db = event.target.result;
  var objectStore = db.createObjectStore("inscrits", {keyPath: "id"});
  for (var i in inscrits) {
    objectStore.add(inscrits[i]);
  }
}

L’objet store est créé avec la méthode createObjectStore(). Cette méthode demande deux paramètres :

  • Le nom du store. Ici, le store a pour nom inscrits.
  • Un objet. Ici, nous définissons un keyPath (c’est l’équivalent d’un index) afin que chaque objet du store soit identifiable de façon unique. Vous devez vous assurer que chaque objet du store possède cette propriété.

Ajout de données dans le store

Lorsque le store a été défini, vous pouvez y ajouter des données. Pour cela, vous allez définir une transaction. Commencez par définir la fonction ajout() :

function ajout() {
}

Ajoutez un bouton dans le DOM et reliez le clic sur ce bouton à la fonction ajout() :

<body>
  <button onclick="ajout()">Ajouter une donnée dans le store</button>

Insérez le code suivant dans la fonction ajout() :

function ajout() {
//Ajout de données dans le store
var request = db.transaction(["inscrits"], "readwrite")
.objectStore("inscrits")
.add({ id: "03", prenom: "Jean", nom: "Vertec", age: 44, mail: "jean.vertec@outlook.com" });

request.onsuccess = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec n\'a pas pu être ajouté dans le store.<br>';
};

request.onerror = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec a été ajouté dans le store.<br>';
}
}

Pour ajouter des données dans le store, on commence par définir une transaction avec la méthode transaction() pour déterminer le nom du store concerné. La méthode transaction() admet trois paramètres :

  • La liste avec laquelle vous allez travailler. Ici, le tableau d’objets inscrits[]).
  • Le mode d’accès au store (readonly ou readwrite). Ce paramètre est optionnel.
  • Le changement de version de la base. Ce paramètre est optionnel.
var request = db.transaction(["inscrits"], "readwrite")

Une fois la transaction paramétrée, on indique le nom du store avec la fonction objectStore() :

.objectStore("inscrits")

Puis on ajoute les données avec la méthode add() :

.add({ id: "03", prenom: "Jean", nom: "Vertec", age: 44, mail: "jean.vertec@outlook.com" });

On attache deux méthodes événementielles sur les événements onsuccess et onerror à l’objet request ainsi obtenu. Ces deux méthodes affichent un message dans le <div> note :

request.onsuccess = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec n\'a pas pu être ajouté dans le store.<br>';
};

request.onerror = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec a été ajouté dans le store.<br>';
}

Cliquez sur le bouton. Voici ce que vous devriez obtenir :

Lecture de données dans le store

Voyons maintenant comment lire les données stockées dans le store.

Commencez par créer la fonction lecture() :

function lecture() {
}

Définissez un nouveau bouton et reliez la fonction lecture au clic sur ce bouton :

<button onclick="lecture()">Lecture et affichage du store</button>

Complétez la fonction lecture par ce code :

function lecture() {
var resultat = '';
var objectStore = db.transaction(["inscrits"]).objectStore("inscrits");
objectStore.openCursor().onsuccess = function(event) {
note.innerHTML = 'Id Prénom Nom Age Mail<br>';
var cursor = event.target.result;
if (cursor) {
resultat += cursor.key + ' : ' + cursor.value.prenom + ' ' + cursor.value.nom + ', ' + cursor.value.age + ' ans, ' + cursor.value.mail + '<br>';
cursor.continue();
}
else {
note.innerHTML += resultat;
}
};
}

Pour lire les données stockées dans le store, vous allez créer une transaction avec la méthode trasaction(). Précisez la liste avec laquelle vous allez travailler (ici, le tableau d’objets inscrits[]), puis indiquez le store sur lequel vous allez travailler avec la méthode objectStore() :

var objectStore = db.transaction(["inscrits"]).objectStore("inscrits");

Pour parcourir toutes les données dans le store, vous allez utiliser la méthode openCursor(). Si cette méthode s’exécute avec succès :

objectStore.openCursor().onsuccess = function(event) {

On commence par afficher le nom des champs dans le <div>note :

note.innerHTML = 'Id Prénom Nom Age Mail<br>';

S’il y a des données à lire dans la base :

if (cursor) {

Ces données sont lues et ajoutées à la variable resultat :

resultat += cursor.key + ' : ' + cursor.value.prenom + ' ' + cursor.value.nom + ', ' + cursor.value.age + ' ans, ' + cursor.value.mail + '<br>';

La fonction continue() est alors appelée pour poursuivre la lecture des données si d’autres données sont disponibles :

cursor.continue();
Dans le cas contraire, les données lues et mémorisées dans la variable resultat sont affichées dans le <div> note :
else {
note.innerHTML += resultat;
}

Cliquez sur le bouton Lecture et affichage du store. Voici ce que vous devriez obtenir :

Suppression de données dans le store

Pour terminer, voyons comment supprimer des données dans le store, et plus particulièrement la donnée de keypath 03, c’est-à-dire Jean Vertec.

Ajoutez la fonction suppression() :

function suppression() {
}

Définissez un bouton HTML et reliez le clic sur ce bouton à la fonction suppression() :

<button onclick="suppression()">Suppression de Jean Vertec</button>

Complétez la fonction suppression() comme ceci :

function suppression() {
var request = db.transaction(["inscrits"], "readwrite")
.objectStore("inscrits")
.delete("03");
request.onsuccess = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec a été supprimé de la base de données.';
};
request.onerror = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec n\'a pas pu être supprimé du store.<br>';
}
}

Vous y êtes maintenant habitué : toute opération dans le store commence par la définition d’une transaction. Pour supprimer la donnée de keypath « 03 », il suffit d’utiliser la fonction delete(« 03 ») :

var request = db.transaction(["inscrits"], "readwrite")
.objectStore("inscrits")
.delete("03");

Les lignes suivantes définissent le code événementiel lié aux événements onsuccess et onerror. Dans chacun de ces cas, un message est affiché dans le <div> note :

request.onsuccess = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec a été supprimé de la base de données.';
};
request.onerror = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec n\'a pas pu être supprimé du store.<br>';
}

Cliquez sur le troisième bouton pour supprimer Jean Vertec du store puis sur le deuxième bouton pour afficher le contenu du store. Voici ce que vous devriez obtenir :

Voici le code complet :

<!DOCTYPE html>
<html>
<head>
<title>IndexedDB</title>
</head>
<body>
<button onclick="ajout()">Ajouter une donnée dans le store</button>
<button onclick="lecture()">Lecture et affichage du store</button>
<button onclick="suppression()">Suppression de Jean Vertec</button>
<div id="note"></div>
<script>
var note = document.getElementById("note");

window.indexedDB = window.indexedDB || window.mozIndexedDB || window.webkitIndexedDB || window.msIndexedDB;
window.IDBTransaction = window.IDBTransaction || window.webkitIDBTransaction || window.msIDBTransaction;
window.IDBKeyRange = window.IDBKeyRange || window.webkitIDBKeyRange || window.msIDBKeyRange;

if (!window.indexedDB) {
note.innerHTML += 'Votre navigateur n\'est pas compatible avec l\'API IndexedDB.<br>';
}
else {
note.innerHTML += 'Votre navigateur est compatible avec l\'API IndexedDB.<br>';
}

// Préparation des données à stocker dans la base de données
const inscrits = [
{ id: "01", prenom: "Pierre", nom: "Perrac", age: 28, mail: "pierre.perrac@gmail.com" },
{ id: "02", prenom: "Marie", nom: "Courteau", age: 19, mail: "marie.courteau@free.fr" }
];
note.innerHTML += 'Données préparées pour stockage dans la base de données.<br>';

// Ouverture de la base de données
var db;
var request = window.indexedDB.open('test', 1);
request.onerror = function(evt) {
note.innerHTML += 'Erreur : ' + evt.target.errorCode;
};
request.onsuccess = function(evt) {
db = request.result;
note.innerHTML += 'Base de données ouverte avec succès.<br>';

};
request.onupgradeneeded = function(event) {
// Création du store
var db = event.target.result;
var objectStore = db.createObjectStore("inscrits", {keyPath: "id"});
for (var i in inscrits) {
objectStore.add(inscrits[i]);
}
note.innerHTML += 'Store créé.<br>';
}

function ajout() {
//Ajout de données dans le store
var request = db.transaction(["inscrits"], "readwrite")
.objectStore("inscrits")
.add({ id: "03", prenom: "Jean", nom: "Vertec", age: 44, mail: "jean.vertec@outlook.com" });

request.onsuccess = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec n\'a pas pu être ajouté dans le store.<br>';
};

request.onerror = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec a été ajouté dans le store.<br>';
}
}
function lecture() {
var resultat = '';
var objectStore = db.transaction(["inscrits"]).objectStore("inscrits");
objectStore.openCursor().onsuccess = function(event) {
note.innerHTML = 'Id Prénom Nom Age Mail<br>';
var cursor = event.target.result;
if (cursor) {
resultat += cursor.key + ' : ' + cursor.value.prenom + ' ' + cursor.value.nom + ', ' + cursor.value.age + ' ans, ' + cursor.value.mail + '<br>';
cursor.continue();
}
else {
note.innerHTML += resultat;
}
};
}
function suppression() {
var request = db.transaction(["inscrits"], "readwrite")
.objectStore("inscrits")
.delete("03");
request.onsuccess = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec a été supprimé de la base de données.';
};
request.onerror = function(event) {
note.innerHTML += 'Jean Vertec n\'a pas pu être supprimé du store.<br>';
}
}
</script>
</body>
</html>

Pour avoir des informations complémentaires sur IndexedDB, vous pouvez consulter les pages suivantes :

Qu’est-ce que OneDrive ?

OneDrive (anciennement appelé SkyDrive) est l’espace de stockage en ligne de Microsoft. Il offre 15 Go d’espace dans sa version gratuite. Cet espace peut être étendu jusqu’à 1 To en souscrivant une offre payante.

OneDrive n’est pas pris en charge sur Windows XP. Par contre, il peut être utilisé sur :

  • Windows Vista SP2, Windows Server 2008 R2 ou ultérieur, Windows 7, Windows 8, Windows 8.1 et 8.1 Update et Windows 10 32 et 64 bits (il est préinstallé sur Windows 8.1 et Windows 10) ;
  • Mac OSX 10.7.3 ou ultérieur ;
  • Périphériques Android et iOS ;
  • Windows Phone 7 et supérieur ;
  • Xbox 360 et Xbox One ;
  • Le site https://onedrive.live.com, ce qui le rend compatible avec tous les appareils capables d’accéder au Web.

OneDrive peut être utilisé pour héberger tous vos fichiers, en particulier vos documents, photos et vidéos. Lorsque vous ajoutez un fichier à votre espace OneDrive, il est automatiquement disponible sur tous vos ordinateurs, téléphones et tablettes. Vous pouvez donc y accéder partout, où que vous soyez. Si votre téléphone, votre tablette ou votre ordinateur vient à être endommagé, vos données sont toujours en sécurité dans votre espace OneDrive. Il vous suffit d’utiliser un autre appareil pour y accéder.

OneDrive sur Windows Vista, 7 et 8

Pour utiliser OneDrive sur Windows Vista, 7 et 8, vous devez installer l’application de bureau. Rendez-vous sur https://onedrive.live.com/about/fr-fr/download/ et cliquez sur Télécharger, sous OneDrive :

 


 

Si vous utilisez Internet Explorer, une boîte de message s’affiche. Cliquez sur Exécuter (si vous utilisez un autre navigateur, le comportement peut être légèrement différent. Quelle que soit votre configuration, exécutez le programme d’installation de OneDrive) :

 


 

Quelques instants plus tard, une boîte de dialogue vous souhaite la bienvenue dans OneDrive :

 


 

Cliquez sur Commencer. Si vous possédez des identifiants Microsoft, entrez-les et cliquez sur Connecter. Dans le cas contraire, cliquez sur le lien Créer un compte maintenant et suivez la procédure pour obtenir vos identifiants :

 


 

Après avoir cliqué sur Se connecter, vous devez indiquer dans quel dossier seront stockés les fichiers partagés sur OneDrive. Le dossier proposé par défaut est c:\users\nom\OneDrive (où nom est votre nom d’utilisateur) :

 


 

Si nécessaire, vous pouvez choisir un autre dossier en cliquant sur Modifier. Lorsque le dossier affiché vous convient, cliquez sur Suivant, puis sur Terminer, en ayant pris le soin de vérifier que la case Me laisser utiliser OneDrive pour récupérer des fichiers sur ce PC est cochée. Quelques instants plus tard, l’Explorateur de fichiers s’ouvre et le téléchargement des fichiers contenus dans votre espace OneDrive commence :

 


 

Une marque affichée devant chaque dossier indique si la synchronisation est ou n’est pas terminée :

 


 

Désormais, tous les fichiers qui seront déposés dans le dossier OneDrive seront disponibles pour tous les ordinateurs et appareils connectés à ce compte OneDrive.

OneDrive sur Windows 8.1 et 8.1 Update

Si vous utilisez Windows 8.1 ou 8.1 Update, OneDrive est déjà installé.

Si la session Windows a été ouverte en utilisant un compte Microsoft, l’accès à votre espace OneDrive est un vrai jeu d’enfant. Cliquez sur la vignette OneDrive pour accéder instantanément à votre espace en ligne.

 


 

Vous pouvez alors ouvrir des documents, des photos et des films, mais aussi créer, supprimer et réorganiser les dossiers existants.

 


 

Premier exemple

Nous ouvrons une feuille de calcul Excel stockée dans le dossier Documents. Un premier clic sur le dossier Documents permet d’accéder à son contenu. Un deuxième clic sur le fichier customer.xlsx ouvre ce fichier dans Excel 2013, si cette application est disponible.

Note

Si la suite Office 2010 ou 2013 n’est pas installée sur votre ordinateur, reportez-vous à la section intitulée « OneDrive en ligne » pour savoir comment utiliser les applications Web (web apps) de la suite Office.

Un avertissement de sécurité vous informe que les connexions de données externes ont été désactivées. Le fichier provenant de votre SkyDrive, vous pouvez indiquer à Excel qu’il s’agit d’une source de données fiable en cliquant sur Activer le contenu.

 


 

A titre d’exemple, nous modifions le contenu de la cellule D2 et nous fermons Excel en sauvegardant la feuille de calcul. Quelques instants suffisent pour enregistrer le fichier dans l’espace SkyDrive.

Deuxième exemple

Nous allons ajouter des photos dans le dossier Photos. Un clic sur l’icône Précédent donne accès au dossier racine de OneDrive. Un autre clic sur Photos ouvre ce dossier. Cliquez du bouton droit sur toute partie inutilisée de l’écran pour afficher la barre des applications. Cliquez sur Ajouter fichiers, sélectionnez les photos que vous souhaitez télécharger, puis cliquez sur Copier vers SkyDrive pour les copier dans votre espace SkyDrive.

 


 

Pour terminer cette rubrique, notez que l’application OneDrive peut être utilisée pour naviguer dans les unités de masse de l’ordinateur. Cliquez sur la vignette OneDrive de l’écran d’accueil, cliquez sur Ce PC dans l’angle supérieur gauche de l’écran puis sélectionnez Ce PC dans la liste. Vous avez alors directement accès à toutes les mémoires de masse de l’ordinateur : disques internes et externes, clés USB, cartes flash, etc.

 


 

Inversement, dans toutes les applications qui proposent d’enregistrer les données qu’elles manipulent, il est désormais aussi simple d’opter pour un enregistrement local, dans les mémoires de masse de l’ordinateur ou sur OneDrive. A titre d’exemple, examinons la boîte de dialogue Enregistrer sous de l’application Paint. Comme vous pouvez le voir, il est aussi simple d’enregistrer l’image en cours dans les mémoires de masse de l’ordinateur que sur SkyDrive.

 


 

OneDrive dans l’Explorateur de fichiers

OneDrive est également accessible dans l’Explorateur de fichiers. Il vous suffit de cliquer sur OneDrive, sous Favoris, pour accéder au dossier racine de votre espace OneDrive.

 


 

Pour copier des dossiers et des fichiers sur votre espace OneDrive, faites-les glisser sur l’icône OneDrive. Le téléchargement se produit en arrière-plan.

 


 

Lorsque l’icône de synchronisation n’est plus affichée, cela signifie que le fichier ou le dossier est à jour. Vous pouvez vous concentrer sur d’autres tâches tout en laissant OneDrive travailler en tâche de fond. La synchronisation se fera dès que possible, en fonction de la taille du dossier et de la vitesse de la connexion Internet.

OneDrive sur Mac OSX 10.7.3 ou ultérieur

Si votre Mac fonctionne sous OSX 10.7.3 ou ultérieur, rendez-vous sur https://onedrive.live.com/about/fr-fr/download/ et cliquez sur Télécharger, sous OneDrive :

 


 

Une nouvelle page s’affiche. Cliquez sur Obtenir puis sur Installer l’app :

 


 

Entrez vos identifiants Apple et cliquez sur Connexion. Quelques instants plus tard, la fenêtre Microsoft OneDrive s’affiche :

 


 

Cliquez sur Démarrer, entrez vos identifiants Microsoft et cliquez sur Connecter. Une nouvelle boîte de dialogue s’affiche :

 


 

Cliquez sur Choisir l’emplacement du dossier OneDrive, désignez le dossier dans lequel seront stockés vos fichiers OneDrive, cliquez sur Suivant puis sur Terminer.

Ca y est, OneDrive est enfin installé. Pour y accéder, cliquez sur l’icône OneDrive dans le coin supérieur droit de l’écran et choisissez Ouvrir le dossier OneDrive dans le menu :

 


 

Le dossier OneDrive est alors affiché dans le Finder :

 


 

Vous pouvez travailler avec ce dossier comme s’il s’agissait de votre disque dur. La sauvegarde se fera en arrière-plan, sans que vous n’ayez quoi que ce soit à faire.

OneDrive en ligne

Le site https://onedrive.live.com/ est accessible sur tout ordinateur, mobile ou tablette capable d’accéder au Web. Connectez-vous sur cette adresse, cliquez sur Se connecter/S’inscrire et entrez vos identifiants Microsoft :

 


 

Quelques instants plus tard, votre espace OneDrive est accessible, comme si vous vous trouviez dans l’application Modern UI OneDrive :

 


 

Tout ce que vous pouvez faire dans l’application Modern UI OneDrive est également faisable sur le site https://onedrive.live.com. En particulier, vous pouvez créer de nouveaux dossiers, ajouter ou supprimer des fichiers dans ces dossiers, mais aussi ouvrir les fichiers qui s’y trouvent.

Ici par exemple, nous ouvrons un fichier WMV en cliquant sur son icône :

 


 

Si la suite Office n’est pas installée sur votre ordinateur, vous pouvez cependant ouvrir des documents Office en cliquant sur leur icône. Ici, par exemple, nous ouvrons un document Word :

 


 

Le menu MODIFIER LE DOCUMENT vous permet de modifier le document en utilisant Word 2013, s’il est installé, ou Word Online dans le cas contraire :

 


 

Si vous choisissez la deuxième option, le document est ouvert dans le navigateur et vous disposez d’une version réduite (mais néanmoins très complète) du Ruban :

 


 

Une particularité très intéressante d’Office Online : si un même document est ouvert par plusieurs personnes, chacune peut le modifier. Les modifications sont immédiatement reportées dans les autres occurrences du document :

 


 

Sur tablette ou téléphone

Allez dans le Store de votre tablette ou téléphone et installez l’application OneDrive. Vous aurez sensiblement les mêmes fonctionnalités que sur l’application pour Windows ou pour Mac.

Sur Windows Phone, OneDrive est déjà installé. Il vous suffit de toucher l’icône OneDrive pour accéder à votre espace de stockage :

 


 

Et, si vous le souhaitez, visualiser ou modifier des documents :

 


 r OneDrive

Il y a peu de chances pour que vous vouliez désinstaller l’application OneDrive, mais voici quand même quelques indications si vous vouliez le faire.

Désinstaller OneDrive sous Windows

Pour désinstaller OneDrive sous Windows Vista, 7 ou 8, appuyez sur la touche Windows, tapez désinstaller et cliquez sur Désinstaller un programme. Dans la fenêtre Programmes et fonctionnalités, cliquez sur OneDrive puis sur Désinstaller :

 


 

OneDrive fait partie de Windows 8.1 et supérieur. Plutôt que de le désinstaller, je vous conseille d’arrêter toute synchronisation si vous ne voulez plus l’utiliser. Appuyez simultanément sur les touches Windows et C, cliquez sur Paramètres puis sur Modifier les paramètres du PC. Sélectionnez OneDrive dans le volet gauche, puis Paramètres de synchronisation dans ce même volet. Il ne vous reste plus qu’à basculer tous les interrupteurs vers la gauche dans cet écran puis de refermer la fenêtre pour ne plus utiliser OneDrive :

 


 

Désinstaller OneDrive sous Mac

Cliquez sur l’icône OneDrive dans la barre de menus et sélectionnez Préférences dans le menu :

 


 

Une boîte de dialogue s’affiche. Basculez sur l’onglet A propos et cliquez sur Supprimer le lien vers OneDrive :

 


 

Une boîte de dialogue de confirmation s’affiche. Cliquez sur Supprimer le lien vers OneDrive.

Fermez la fenêtre Bienvenue sur OneDrive :

 


 

Ouvrez le dossier Applications, puis glissez-déposez l’icône de OneDrive dans la corbeille.

Désinstaller OneDrive sur tablette ou téléphone

OneDrive est une application comme une autre. Pour le désinstaller, vous utiliserez la technique habituelle sur votre appareil. Par exemple, sur iPhone et iPad, appuyez de façon prolongée sur l’icône de l’application OneDrive et supprimez-la en appuyant sur la croix qui s’affiche au-dessus de l’icône. Ou encore sur Android, ouvrez le menu Paramètres, sélectionnez l’onglet Applications, appuyez sur l’icône OneDrive, puis sur Désinstaller.

Doper One Drive

Vous avez besoin d’un plus grand espace de stockage sur OneDrive ? Si cette offre est toujours d’actualité, il vous suffit de télécharger l’application OneDrive sur iOS, Android ou Windows Phone et d’activer la fonction de téléchargement automatique des photos vers OneDrive.

Dans le cas contraire, vous pouvez souscrire un abonnement à Office 365. Vous disposerez alors d’un espace de stockage illimité !

Pour aller plus loin dans le Cloud

Bien que très pratique et parfaitement intégré dans Windows, OneDrive n’est pas le seul point d’accès au Cloud. Deux autres produits se partagent le devant de la scène : Dropbox et Google Drive. Il ne s’agit pas de concurrents. Je dirais plutôt que ce sont des services complémentaires qui apportent des fonctionnalités annexes, souvent très intéressantes. Tout ce que vous devez savoir sur Dropbox et Google Drive est expliqué dans mon eBook « Le cloud enfin expliqué : OneDrive, Dropbox et Google Drive ». Cliquez sur l’image qui suit pour y accéder au format PDF :

Votre PC a trois ou quatre ans et il commence à montrer quelques signes de faiblesse : le démarrage est de plus en plus lent, certains programmes ont du mal à se lancer, le disque dur est proche de l’asphyxie…

Si la bête de course que vous avez achetée s’est transformée en un escargot, il est temps d’intervenir !

Cette vidéo va vous montrer comment redonner du punch à votre ordinateur, de façon logicielle et matérielle.

Pour aller plus loin, cliquez ici pour télécharger le eBook PC Booster maintenant !

 

Certaines pages Web peuvent refuser de s’afficher ou s’afficher de façon erronée dans la version Bureau du navigateur Internet Explorer 11. Cela vient du fait qu’elles ne reconnaissent pas IE11 ou qu’elles interdisent l’accès à ce navigateur. Vous pouvez contourner ces limitations en faisant passer IE11 pour un autre navigateur !

Appuyez sur la touche F12, basculez sur l’onglet Emulation (1) et choisissez le mode d’émulation dans la liste déroulante Chaîne de l’agent utilisateur (2). Ici par exemple, IE11 sera pris pour Google Chrome :

 

Voici quelques raccourcis claviers qu’il est bon d’avoir en tête sous Windows 8.x.

Raccourci Effet
Windows Basculer entre l’écran d’accueil et le Bureau
Windows +M et Windows +D Accès au Bureau en minimisant les fenêtres des applications ouvertes
F2 Renommer une icône sur le bureau
Windows +T Parcourir les programmes dans la barre des tâches
Windows +B Atteindre la première icône de la zone de notification
Windows +Haut Maximiser la fenêtre active
Windows +Bas Réduire la fenêtre active
Windows +Droite ou Gauche Placer la fenêtre active dans la moitié droite ou gauche de l’écran
Windows +Pause Afficher la fenêtre Système
Windows +R Ouvrir la boite de dialogue Exécuter
Windows +U Ouvrir le panneau de configuration sur la fenêtre Options d’ergonomie
Windows +Entrée Narrateur